Le Fact-checking, cancer moderne.
Je ne supporte plus ces machins :
Déjà que les vrais articles étaient pas brillants, on avait pas besoin de ces torchons putaclics. La presse s’est mise à faire ça suite à l’élection de l’Empereur Donald Trump qui a popularisé le concept de fake news, en les ciblant eux d’ailleurs.
I love Twitter…. it’s like owning your own newspaper— without the losses.— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 10 novembre 2012
Depuis, elle check à tout-va pour essayer de se redonner de la crédibilité (caramba, encore raté).
Puis, en l’échange de l’énorme trafic qui leur est apporté (genre 8 milliards de visites/an, 3000 visites/seconde) les milliardaires de la presse exigent que Google les rémunère pour publier ces merdes.
Évidemment Google leur dit d’aller se faire foutre et annonce retirer les liens vers « NON, boire du thé ne guérit pas du SIDA ». Information qu’on pouvait aisément trouver sur Google sans la presse française d’ailleurs.
Ou juste en allumant son putain de cerveau.
Perso je jubilais déjà à l’idée de surfer sur un Google News libéré des donneurs de leçons subventionnés pour 1,8 milliard par l’État (du coup on aurait peut-être pu envisager de supprimer l’obole si vraiment plus personne ne lit ?).
Oui mais non
Ô surprise, le JDN nous apprend que « La quasi-totalité des principaux sites d’actualité accepte que Google reprenne ses vignettes et chapô sans contrepartie financière »
Comme j’avais eu l’essentiel de l’information gratuitement je me suis dit « Oh quand même joue le jeu, désactive AdBlock sur le JDN ». Mais. Je. Non.
Je constate que les seuls qui ne mendient pas à Mountain View sont les seuls à respecter leurs utilisateurs, par exemple eux :
Définitivement aucun respect pour ces les élites de la presse.
Du coup j’ai fabriqué le Fact-checking que j’aimerais voir s’ils étaient vraiment honnêtes, ces éditeurs :